Quand l’aspiration à la sécurité devient un état régressifPour certains, ne pas bouger ni faire de vagues, éviter les responsabilités et leur cortège de problèmes, garantirait une existence tranquille et heureuse !
Un tel raisonnement peut avoir parfois ses plages de validité, dans certaines grandes bureaucraties privées ou publiques et pendant un temps limité. Mais comme l’a découvert Alice au pays des merveilles, celui qui reste en apparence immobile recule de plus en plus vite.
Au risque d’une sclérose insidieuse émoussant toute remise en cause personnelle, tout désir de saisir des opportunités, toute volonté de rompre avec le quotidien et l’ennui.
Et plus le sommeil aura été long, plus le réveil sera douloureux face à un nouveau contexte professionnel ou personnel.
Car la vie c’est le mouvement, c’est l’évolution. Mais « il n’y a pas d’évolution sans risquer (un peu) sa peau « écrit Nikola Taleb dans un best seller remarquable. (*)
Cet auteur américain, ancien trader, essayiste, lecteur de Sénèque et professeur d’université, oppose à l’intellectuel ou au cadre d’une organisation confortable, l’artisan ou le petit entrepreneur qui met en jeu chaque jour son honneur et sa réputation. Bien des élites, coupées du réel, méprisant le local, voyant le monde uniquement du haut vers le bas, raisonnent dans le vide et ne sont jamais exposées aux conséquences de leurs erreurs. Celles-là ne sacrifient jamais quelque chose d’important. Taleb souligne en revanche la dimension éthique des choix et risques assumés par ces entrepreneurs au contact du terrain.
Et plus le sommeil aura été long, plus le réveil sera douloureux face à un nouveau contexte professionnel ou personnel.
Car la vie c’est le mouvement, c’est l’évolution. Mais « il n’y a pas d’évolution sans risquer (un peu) sa peau « écrit Nikola Taleb dans un best seller remarquable. (*)
Cet auteur américain, ancien trader, essayiste, lecteur de Sénèque et professeur d’université, oppose à l’intellectuel ou au cadre d’une organisation confortable, l’artisan ou le petit entrepreneur qui met en jeu chaque jour son honneur et sa réputation. Bien des élites, coupées du réel, méprisant le local, voyant le monde uniquement du haut vers le bas, raisonnent dans le vide et ne sont jamais exposées aux conséquences de leurs erreurs. Celles-là ne sacrifient jamais quelque chose d’important. Taleb souligne en revanche la dimension éthique des choix et risques assumés par ces entrepreneurs au contact du terrain.
Saisir sa chance, prendre son risque
Prendre des risques pour soi et /ou pour les autres est le meilleur moyen de progresser et de faire progresser la société.
Telle Julie qui n’osait pas postuler à un poste de manager. Je lui demandais « qu’avez-vous à perdre à tenter » ? ET « qu’avez-vous a gagner à tenter ? ». Réalisant les bénéfices liés à cette prise de risque, les avantages bien élucidés la mirent en mouvement. Ce fut le début d’une trajectoire professionnelle épanouissante et elle dirige aujourd’hui sa propre entreprise.
Alors, au lieu de trop de conformisme, pensons mise en mouvement et audace.
Paul Ricoeur écrivait « le plus grand défi de l’homme est de faire de sa vie un destin, tout en s’inscrivant avec respect dans la collectivité ».
Il s’agit bien de trouver sa juste place, celle ou vous pourrez libérer tout votre potentiel, tout en apportant votre pierre à l’édifice commun.
Telle Julie qui n’osait pas postuler à un poste de manager. Je lui demandais « qu’avez-vous à perdre à tenter » ? ET « qu’avez-vous a gagner à tenter ? ». Réalisant les bénéfices liés à cette prise de risque, les avantages bien élucidés la mirent en mouvement. Ce fut le début d’une trajectoire professionnelle épanouissante et elle dirige aujourd’hui sa propre entreprise.
Alors, au lieu de trop de conformisme, pensons mise en mouvement et audace.
Paul Ricoeur écrivait « le plus grand défi de l’homme est de faire de sa vie un destin, tout en s’inscrivant avec respect dans la collectivité ».
Il s’agit bien de trouver sa juste place, celle ou vous pourrez libérer tout votre potentiel, tout en apportant votre pierre à l’édifice commun.
Mettez vous en mouvement et venez nous rejoindre :
Le 23 mars commence la formation « Devenir coach « pour tous ceux qui décident de remettre leur vie en route.
Le 23 mars commence la formation « Devenir coach « pour tous ceux qui décident de remettre leur vie en route.
(*) «Jouer sa peau, asymétries cachées dans la vie quotidienne ». Nassim Nikola Taleb – ed Les Belles